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Les 3 îles qui formeront l‘île de Ré
Histoire des 3 îles
 
L'île de Ré aurait formé un archipel composé d'au moins trois îles :
 
> une au nord, l’Isle de Loix constitué par le village de Loix,
> une à l’ouest, l’Isle d'Ars formée par les villages d’Ars, Saint-Clément-des-Baleines
et Les Portes,
> la plus grande et la plus proche du continent, l’Isle de Ré regroupant les communes
actuelles de Rivedoux-Plage, Sainte-Marie-de-Ré, La Flotte, Saint-Martin-de-Ré,
Le Bois-Plage et La Couarde-sur-Mer.
 
Cet archipel aurait fait alors partie du domaine de la tribu gauloise des Lémovices, par
lesquels la plus grande île, l’Isle de Ré, prit plus tard le nom latin de Arica Insula. Ce
nom s'imposa par la suite à l'ensemble de l'archipel rétais.
 
Elle prolonge à l'ouest le promontoire calcaire du Jurassique de la plaine de l'Aunis,
présentant les mêmes caractéristiques de sols et d'assises géologiques.
 
Certains historiens supposent que l'île de Ré était rattachée au continent à l'époque
antique. En effet, alors qu'un certain nombre de vestiges de l'occupation romaine ont pu être retrouvés, ainsi que quelques fragments épars d'origine celte, aucun document de l'époque romaine ne mentionne son insularité. Ptolémée, géographe grec, parle d'un promontoire, et non d'une île, à cet endroit. La séparation du continent serait alors due à un violent tremblement de terre qui aurait secoué la région à une époque tardive de l'Antiquité gallo-romaine.
Légende de Ratis
 
Les légendes sont omniprésentes dans le folklore rétais. Une légende raconte que la création de l'île de Ré proviendrait de terribles séismes ayant englouti une cité romaine nommée "Antioche", et que les seules survivantes de ces événements seraient Ré et Oléron. Les rétais disent que les ruines de la cité mythique seraient visibles uniquement par beau temps. Ce n'est qu'une légende, mais, en 1809, un bateau s'est échoué sur la pointe de Chanchardon, et le capitaine du navire voit « les dallages de la banche calcaire qui lui paraissent être les restes d'une construction romaine ». De plus, le géographe Élisée Reclus situe, dans sa fameuse Géographie universelle, la ville d'Antioche à hauteur de Chanchardon. Mais, selon le dicton rétais, Quand Antioche réapparaîtra, Ré disparaîtra…
 
Une autre légende, nous informe que des navigateurs de l'époque de l'Égypte antique, envoyés par Ramsès II, auraient voulu faire le tour du Monde et se seraient échoués au Martray (près de l'actuelle ville d'Ars) et y auraient construit une petite pyramide. D'où le lien entre le nom de l'isle de Ré et le dieu égyptien Rê. Mais cette idée qui a été véhiculée au cours du XIXe siècle, n'a aucun support linguistique, épigraphique ou archéologique pour être validée.
 


Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_de_R%C3%A9#.C3.89tymologie
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_de_R%C3%A9#Histoire
La première mention écrite de l’île de Ré est faite par un géographe grecque au VIIe siècle sous une forme latinisée Ratis. On trouve aussi la forme Radis.
 
En gaulois ratis signifie « fougère », cité par Marcellus de Bordeaux, qu'on retrouve également dans les autres langues celtiques : breton radenn (*rati-nā), vieil irlandais raith « fougère ». J.M. Cassagne et M. Korsak considèrent que Ré signifie « l'île aux fougères », où d'immenses fougeraies auraient couvert l'île il y a deux millénaires.
 
Cependant, Xavier Delamarre qui identifie bien ce mot dans Rezé (*Ratiate > Ratiaton IIe siècle), Razac-sur-l'Isle (*Ratiacum > Razacum XIIIe siècle, avec suffixe -acum), etc. ne mentionne pas Ré. Par contre, il cite un homographe rate / ratis (lire rāte / rātis, avec a long), bien représenté dans la toponymie, et qui signifie « muraille, rempart », d'où « fort » (cf. vieil irlandais ráith « levée de terre, fort ») et qui constitue peut-être le type primitif de Ré, de *rati-, d'où le latin Radis.
 
Certaines personnes pensent qu'il y a un lien étymologique entre Ré et le dieu égyptien Rê, ou entre Ré et Rhéa (personnage de la mythologie grecque). Mais ces théories du XIXe siècle ne sont pas fondées sur des supports linguistique, épigraphique ou archéologique.
 
Elle aurait également fait partie du domaine de la tribu gauloise des Lémovices, ceux-ci la désigneront plus tard sous le nom latin de Arica Insula dans leurs itinéraires maritimes, mais la signification de ce nom demeure inconnue.
Ratis ou Arica Insula
(île de Ré)
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